jeudi 18 juillet 2013

Oklahoma Boy, la guérilla de l'émotion!

Bonjour à tous,
Je tente ce texte, pour vous parler de la souscription pour Oklahoma Boy.
Je sais à quel point c'est agaçant de recevoir du prosélytisme ainsi, mais c'est l'avant dernière fois, promis.

Je souhaite tout d'abord remercier les participants jusqu'à maintenant. C'est formidable de faire confiance ainsi, vous ne serez pas déçu, vous verrez(enfin j'espère). Mille fois merci. On en discutera quand vous l'aurez, je VEUX vos retours.
Je veux aussi remercier Vide-Cocagne, qui fait un boulot de fou, mais j'en reparlerai. Et puis Manolosanctis qui a lancé le projet initial,
et tous ceux qui ont pu y croire et m'ont soutenu quand tout se cassait la binette.

Je voulais un peu vous parler des raisons de cet album.
Oklahoma Boy, ça s'est construit comme un château de cartes. C'est parti d'un croquis et d'un bagage artistique.
C'est un album tout fragile, mais que j'ai eu envie de remplir de sensations. J'ai essayé de mettre du sentiment, plein de sentiments, que ça déborde, dans ce bouquin.
Pour de vrai, lire une BD, ça ne me plaît pas trop. Affectivement, je suis lié à celles des copains, qui font tous des albums qui me touchent, mais en dehors de ça, je me diverti tout au mieux(et les bon divertissements se font bien rares).
D'ailleurs, la seule qui m'ait ému récemment, c'est "les derniers jours d'un immortel", parce qu'il y a une force d'écriture, un parti-pris graphique, et de la poésie.
Alors quoi? Hé bien, j'essaye de mettre tout ça dans mes histoires. Je créé des récits complètement bancals, mais j'espère qu'ils font vibrer une corde sensible chez le lecteur. C'est ainsi que je ressens la musique que j'écoute, les romans que je lis.
Tout cela m'émeut, avec force. Et c'est ça que bien maladroitement, j'ai essayé de faire avec Oklahoma Boy. Au-delà de tous les sujets abordés, je veux qu'avec passion le lecteur se laisse aller à son émotivité.
On baigne dans une culture du second degré complice et du ricanement, je lutte pour le premier degré émotionnel!
Voilà, j'espère que cela vous parle, les raisons intimes d'un projet, c'est assez compliqué à exprimer.

Maintenant, je veux parler des gars de Vide-Cocagne. Il faut un peu voir ce que c'est une maison telle que la leur.
Quand on te dis "on y va" et "on va faire un album super beau, avec dos toilé, tout le bazar" hé bien tu te demandes quels risques ils prennent.
C'est simple, faire ce genre d'album, ça met en péril la structure. Rien que ça. T'as 5-6 personnes qui bossent comme des chiens, cavalent entre leur métier d'éditeur, de dessinateur...Putain ils le portent le bouquin, et on rajoute des détails, on forme le projet par petites touches, en discutant.
On te dis "si on fait pas les albums qu'on veut, alors on fait rien". Ces gens sont libres. Ainsi, je veux les remercier à ma façon, il faut que mon bouquin les aide, parce qu'on parle aussi de ça, de réalité, il faut survivre.
 Et d'ailleurs, allez voir sur leur site, il y a tellement de jolies choses.

Bon voilà, je me suis encore emballé, mais ça fait du bien.
Pour finir, je ne dirai pas "25 euros c'est rien", non cet album est cher, c'est clair. Mais si le pari n'est pas trop raté et que,
en tant que lecteur, vous jouez le jeu, parce que je pense qu'un lecteur a un rôle à jouer à la lecture), je pense que ça vaut le coup de chopper ce livre.
Il reste 38 jours pour souscrire ici, merci beaucoup.
http://fr.ulule.com/oklahoma-boy/

Ha et j'ai oublié de dire, on a presque fini la sérigraphie. Ça va être du tonnerre!

mercredi 17 juillet 2013

mardi 16 juillet 2013

Serve the people.





Le nouveau projet, dont je vais parler vendredi, ce nomme le jour du serpent.
Je m'amuse bien avec la trame, mais je pense pas partir là-dessus en vrai de vrai.
Sinon, pour info, vous pouvez toujours soutenir Oklahoma boy et Vide-Cocagne ici:
http://fr.ulule.com/oklahoma-boy/

mardi 2 juillet 2013

Friends will be friends.

hurm.
Bon, pas de dessins, j'ai plein de choses à scanner, pour un festival de couleur.
Par contre, je viens vous faire un copinage de bédé, faites par les copains:
donc d'abord, il y a Hoodoo Darlin', de Léonie.
Ensuite, Canis Majori, de mon homme Loïc.
Et enfin, Je n'ai jamais connu la guerre de Maud et Joseph.